Comme le montre son livre Archipels, Bézian n'aime pas la lumière. Son âme, ses vêtements, ses livres et ses personnages sombrent dans un nocturne espoir d'une nuit éternelle. S'il avait un château, celui-ci serait noir. S'il avait un chien, celui-ci serait mort. Et puis, soudain, pour nous prouver le contraire, le voilà qui fait des envolées, le voilà touchant, le voilà humain. Les deux ensembles racontent la vie, la vie selon Bezian.
Lewis Trondheim.