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C'est le mois d'août. La petite ville d'Ambert vit au rythmr de son festival de théâtre. Marionnettistes, jongleurs et comédiens ont pris possession de la ville... Comme tous les étés, Mathilde passe ses vacances chez ses cousins, Marion et Arthur. Tous trois, passionnés de théâtre, se régalent à l'avance de cette semaine de festivités... Mais cette année, le festival d'Ambert leur réserve une bien sinistre comédie: un crime est commis dans les coulisses du théâtre! Mathilde et ses cousins décident d'élucider ce mystère, mais l'enquête est difficile car les principaux suspects sont des acteurs professionnels. Arrivernt-ils à démasquer le coupable?

Honfleur, son port, ses vieilles rues... et ses cadavres ! Alors que je rentrais chez moi, par les vieilles rues de Honfleur, un bruit de pas me poussa dans l'ombre d'une porte. Je m'en voulais de ces angoisses irraisonnées, mais je décidais quand même d'emprunter un autre chemin. Soudain, je le vis... un corps sombre en travers de l'escalier... Un homme : il ne bougeait pas, il était mort... je le reconnus aussitôt, c'était Netter, le directeur de la galerie de peinture. C'est vrai, personne ne l'aimait dans le quartier. Mais de là à le tuer !

"Je suis à Rome, ce sont les vacances et je suis à Rome avec papa...Rome!" J'avais posé mon front contre la vitre du taxi et je me laissais glisser comme dans les images d'un film. Il y avait quelque chose de magique dans cette nuit à Rome! Bellissima! J'avais toute une semaine de liberté, à flâner, à respirer le temps qui passe. J'adore traîner. Un peu trop peut-être! Livia m'avait prévenue. Rome est une ville dangereuse... surtout pour les petits filles! Cette fois-ci, j'aurais mieux fait de l'écouter... mais il est, malheureusement, trop tard!

Ah! Les vacances à Noirmoutiers dans le pavillon de grand-père, les éclats de rire sur la digue avec les cousins... Cela fait deux mois que j'attends ce moment avec impatience: que de petits bonheurs en perspective! Cette année pourtant, rien ne devait être vraiment pareil. Il avait suffit d'une escapade solitaire à l'Anse rouge, ma plage préférée, pour que tout bascule. Deux silhouettes malfaisantes marchaient lentement sur le sable, traînant derrière elles...un corps inanimé! Les vacances commençaient d'une drôle de façon!

" Il y avait quelque chose dans l'air, ce matin-là. Ca ne s'explique pas. Ca vient deux fois par an, peut-être, au début du printemps souvent, et quelques fois à la fin de l'automne. Le soleil d'avril était léger, un peu laiteux, rien d'extraordinaire. Les marroniers ne déployaient qu'avec parcimonie leurs premières fleurs sucrées. Mais elle l'avait senti dès les premiers pas sur le trottoir, avant même d'enfourcher sa bicyclette. Une allégresse. Pas le jaillissement de la joie, pas le battement de coeur toujours un peu anxieux du bonheur. "