Prix du meilleur roman policier Deutscher Krimipreis, 2011.
A Windhoek, en Namibie, un homme blanc est abattu à l'AK-47. C'est le premier meurtre de toute une série, à travers le pays. Ils sont tous liés à l'assassinat d'Anton Lubowski survenu vingt ans plus tôt. Clemencia Garrise se charge de l'enquête.
Quatrième de couverture
Namibie, au mois de janvier. La saison des pluies tarde à venir et le pays tout entier courbe l'échine sous la chaleur et la sécheresse. Dans le quartier riche de Ludwigsdorf, un homme est abattu à la kalachnikov à travers les barbelés électrifiés de sa propriété. C'est le premier d'une série de meurtres. Les victimes, des blancs riches, tous liés à une affaire politique vieille de vingt ans : l'assassinat d'Anton Lubowski dans les heures sombres de la fin de l'apartheid. L'inspectrice chargée de l'enquête, Clemencia Garrise, est un produit de la « nouvelle » Namibie : noire, originaire d'un township, elle a pu étudier grâce à une bourse. Des exactions de l'apartheid et du combat pour l'indépendance de la Namibie, elle ne connaît que les histoires qu'on lui a racontées. Inspiré d'un fait divers, L'Heure du chacal est un polar engagé sur la mort politique de la Namibie. Il pose des questions universelles sur la vérité, la culpabilité et la morale.